Qi Gong & Tai Ji Quan - Expression Sensitive

Qi Gong

Introduction

Dans les années 1950 le grand médecin daoïste, Liu Gui Zhen a rassemblé sous le terme Qi Gong toutes les pratiques énergétiques existantes depuis plusieurs millénnaires afin de préserver cette part de la mémoire ancestrale chinoise.

Qi est traduit par souffle énergétique et Gong par maîtrise de soi.
Le Qi Gong est le travail de la maîtrise du souffle énergétique.

Selon les principes de la médecine traditionnelle chinoise le souffle énergétique, est à l’origine de toute vie.

La pratique du Qi Gong permet de se reconnecter à cette mémoire vibratoire en harmonie avec les lois d’équilibre naturelles.

Qi Gong de la verticalité intérieure ou Wu Ji Zhan Zhuang Qi Gong

La lignée

Lao Zi, fondateur du daoïsme, auteur du Dao De Jing (Tao Te King), le livre de la voie et de la vertu fut le premier chercheur de la vérticalité intérieure.

Le Qi Gong de la verticalité intérieure a été développé et transmis en France par Sifu Kar Fung Wu. Héritière de la tradition chinoise, Boudhiste et Daoïste, elle en a été imprégnée dès son plus jeune âge (arts martiaux, calligraphie, musique, médecine (pharmacopée, acupuncture, Qi Gong). Ses maîtres Lim Jin Keng, puis le Darmakaya Ben Huan (lui même disciple de Xu Yun) descendent de la lignée du 6ème Patriarche, Hui Neng.

Sifu Kar Fung Wu a intégré sa connaissance approfondie de la culture et de la musicologie occidentale, et ses recherches en anthropologie des médecines asiatiques à son enseignement. Elle forme ainsi des enseignants de Qi Gong dont fait partie Pascale Pommeret.

La pratique

La pratique du Wu Ji Zhan Zhuang Qi Gong (Qi Gong de la verticalité intérieure) développe l’écoute intérieure afin de ré-accorder le corps. L’auto-ajustement de toute la charpente osseuse enracine et stabilise l’axe vertical dans le centrage. L’équilibre des lignes de force et l’ouverture des tissus corporels amènent au lâcher prise.

La tenue des postures précises favorise la détente de la musculature superficielle et l’oxygénation des tissus profonds.

Des mouvements lent et fluides assouplissent le diaphragme. Le bassin s’équilibre. La respiration pulmonaire et la respiration abdominale s’harmonisent.
Ainsi l’amélioration circulatoire du souffle énergétique (Qi) revitalise les organes et les viscères. Le corps (microcosme) se reconnecte à sa rythmicité vibratoire, ancré dans la terre et relié au ciel, en résonnance avec le cosmos (macrocosme).


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